Contact
Partager

BUCHE DU BELLAY

Marque cointreau pour recette
Métiers :
Quantité :

Recette pour 4 à 5 bûches d’un litre

  • buche glacee du bellay

recette vintage de bûche de noël glacée fraise

1. SUCCÈS

Ingrédients

4 blancs d’oeufs
250 g de sucre
125 g de poudre d’amandes
15 g de farine

Étape

Monter les blancs fermes puis les mélanger avec les poudres.
Dresser sur plaques beurrées et farinées, avec une douille à
caroline. Cuire à four doux.

2. PARFAIT AU COINTREAU®

Ingrédients

16 jaunes d’oeufs
1/2 litre de sirop densité 1260 (30° baumé)
Cointreau® 60% vol.

Étape

Pocher au bain-marie. Fouetter jusqu’à complet refroidissement.
Parfumer au Cointreau®. Mélanger avec un volume double de
crème fouettée non sucrée.

3. BISCUIT AUX AMANDES

Ingrédients

125 g de poudre d’amandes
200 g de sucre semoule (1)
1 oeuf + 6 jaunes
125 g de farine
6 blancs d’oeufs
50 g de sucre semoule (2)

Étape

Mélanger les oeufs avec le sucre (1) puis ajouter la poudre
d’amande. Monter les blancs fermes avec le sucre (2) puis
incorporer la farine et pour terminer, la préparation précédente.
Cuire à four très doux à 150°C.

4. GLACE À LA FRAISE

Ingrédients

1 litre de pulpe de fraise
1 litre de sirop froid densité 120 (30° baumé)
1 jus de citron
1/2 litre de crème anglaise

Étape

Densité de l’ensemble 1260 (16° baumé)

5. MONTAGE ET FINITION

Ingrédients

Aucun ingrédient.

Étape

Chemiser le moule gouttière de glace à la fraise. Verser un peu de Parfait au Cointreau®, puis placer le biscuit imbité au Cointreau®.
Compléter de Parfait au Cointreau®. Congeler.
Démouler sur fond de succès et décorer selon votre inspiration.

ORIGINE

Ingrédients

Aucun ingrédient.

Étape

En 1524, naquit dans une famille angevine près de Lyré, un garçon prénommé Joachim.
C’est un doux et fin poète, fluide et facile, d’une grâce sérieuse et souvent mélancolique. Il a exprimé, dans ses sonnets, une façon d’aimer ardente et un idéalisme sentimental. Il restera dans notre poésie comme un maître du sonnet.
Exilé à Rome dans son poste d’intendant du Cardinal du Bellay, son cousin, triste d’être si loin de son «petit Lyré» et ne pouvant penser sans larmes à la «douceur angevine», son âme endolorie n’en était que plus sensible aux impressions de ce monde étrange où elle languissait.
Et toutes ces impressions se fixaient dans de pénétrants sonnets où il songeait le plus souvent à rimer sur l’amour et les femmes.